2019 : In The Raw

01. Dead Promises (ft. Björn “Speed” Strid)
02. Goodbye Stranger (ft. Cristina Scabbia)
03. Tears In Rain
04. Railroads
05. You And I
06. The Golden Chamber: Awaken / Loputon Yö / Alchemy
07. Spirits Of The Sea
08. Silent Masquerade (ft. Tommy Karevik)
09. Serene
10. Shadow Play
Date de sortie : 30 Août 2019

Durée : 58 minutes
Label : EarMusic

Pochettes alternatives :
     

Singles :
1. « Dead Promises »
2. « Rail Roads »
3. « Tears In Rain »

Bonus tracks :
– Dead Promises (Tarja version)
– Goodbye Stranger (Tarja version)
– Silent Masquerade (Tarja version)
– Railroads (demo)
– You And I (Band Version)
– Spirits Of The Sea (Bartly’s Water Remix)
– Spirits Of The Sea (Carlinhos Percussion Mix)

Remarques :
Contrairement à l’album précédent qui avait été précédé d’un long EP, « In The Raw », le 5e album de Tarja, est précédé uniquement d’un single surprise « Dead Promises ». L’album se veut plus « brut » (d’où son titre) et plus personnel au niveau des paroles.

Description de l’album :
Déjà lors du précédent album, Tarja affirmait qu’elle ne ferait jamais deux fois le même album. « In The Raw », son cinquième album metal, prouve encore une fois ses dires. Cet album propose des titres plus bruts que l’album précédent : les morceaux sont soit rentre-dedans (Dead Promises en est le parfait exemple) soit sans artifice inutile, comme par exemple la balade « You And I ». Beaucoup de titres efficaces (Tears In Rain ou Railroads, qui feront deux excellents singles), mais aussi plusieurs guests sur cet album, comme par exemple Cristina Scabbia, de Lacuna Coil, sur « Goodbye Stranger ». Tarja s’est également particulièrement investie dans les paroles, qui seront les plus personnelles de sa discographie. On peut noter notamment la chanson « Spirits Of The Sea » qui porte sur les disparus d’un naufrage en Argentine. Enfin, l’album se termine par « Shadow Play », un morceau intégralement écrit et composé par Tarja, qui n’aurait pas eu à rougir dans un album de Nightwish. Contrairement au reste de l’album qui se veut très brut (après tout, c’est le nom de l’album), Tarja a voulu mettre dans « Shadow Play » tout l’aspect orchestral et grandiloquent qu’aiment très souvent entendre les fans de metal symphonique. De quoi être comblé… 😉